Jeudi 27 février 4 27 /02 /Fév 12:29

Je me précipite dès le lever pour mettre la cage avant même de me rendre aux toilettes. C’est reparti pour une journée serré dans la cage. Durant la journée, j’ai ressenti à plusieurs reprises des ondes au niveau de mon bas-ventre et de ma queue avec une furieuse envie de me masturber. Comme je le pensais, je n’ai eu droit qu’à 11 h de cage aujourd’hui. Vivement que la période d’essais arrive à son terme que je sois obligé de rester encagé pour des périodes beaucoup plus longues (plusieurs jours).

Dernier jour de privation de liberté de la semaine, et encore, ce sera une journée raccourcie à cause du sport. Sitôt levé, je mets la cage et m’habille. Il est maintenant évident que le choix des réglages de contraintes est très satisfaisant : aucun moyen de sortir même lorsque je suis totalement flasque et rétréci, les testicules restent bien comprimés mais sans douleur, la bite est parfaitement en place et occupe la totalité de la cage, sans lui laisser aucune possibilité de grandir.

De retour à la maison, je me précipite vers la mallette à godes, j’en choisi un très gros et avec un peu de gel, je me l’enfile dans le cul bien profond. Je me lance alors dans une suite frénétique de mouvements qui ont pour effet de vouloir me faire bander mais la cage est là pour me contenir. Quelle sensation ! Maintenant, c’est avec l’outil destiné à la prostate que je joue. L’idée est de tester pour la première fois si je peux vider mon sperme sans prendre de plaisir et quelles sensations cela produit. Pas facile à faire tout seul. Au bout de quelques dizaines de minutes, j’arrive enfin à un début de résultat. Un tout petit filet de sperme s’écoule lentement. Je le récupère et le goute pour vérifier, c’est bien du sperme. Ça marche mais je pense que je préfèrerais que ma Gardienne s’en charge, cela serait encore plus efficace et humiliant de ne pas être maitre de mon corps.

Je suis obligé de mettre fin à cette expérience avant son terme réel, ce qui me laisse très frustré, exactement ce qu’il faut. Je dois maintenant enlever la cage car la suite du programme est incompatible avec son port, dommage. Aucune séquelle cutanée n’apparait, elle remplit donc parfaitement son rôle.

Après un long week-end sans contrainte, je me sens un peu perdu et j’ai hâte de retrouver ma cage. Dès le lever, je pose la cage et, après quelques pincements, je me retrouve bien serré. Les testicules gonflés sont bien coincés entre la cage et la bague, ils n’ont pas été vraiment vidés depuis plusieurs jours alors qu’avant le début de l’aventure de mise en cage, nous faisions l’amour tous cinq à six fois par semaine. C’est parti pour une longue journée. Bizarrement, je suis content et soulagé d’être à nouveau en cage. Le passage aux toilettes est toujours un moment où les sentiments de soulagement et d’humiliation sont étroitement imbriqués. Pour des raisons de propreté, je suis également obligé de me mettre assis, sous peine de m’asperger avec mon urine, une humiliation de plus. La journée passe sans soucis malgré une ballade le midi. Le soir, j’ôte la cage après plus de 12h d’enfermement, je me sens nu, il manque quelque chose. Vivement demain matin.

À nouveau encagé dès le lever, c’est parti pour une journée spéciale. En effet, ce midi je vais au club gay pour me faire prendre, mon cul réclame des bites, je suis en manque. J’appréhende cette première incursion dans le monde gay dans ma situation de soumis encagé, seuls mon cul, ma bouche et mes tétons seront disponibles alors que j’aime tant me faire sucer. Ça promet d’être chaud… Un peu déçu, pas de candidats intéressants, peut-être la situation a-t-elle rebuté les hommes présents. Partie remise. Maintenant ce sont les vacances et celles-ci ne seront pas propices au port de la cage pendant 15 jours.

Retour de vacances, remise en place de la cage dès le matin mais sans doute pour moins de temps que désiré. La sensation est très plaisante d’être enfermée est à nouveau présente.

 

À part les petites périodes de baise imposées par les envies de ma Gardienne, je reste enfermé. J’ai droit à ma part de jouissance et de rapports mais selon ses directives et pour son plaisir avant d’avoir à l’esprit la satisfaction et le plaisir que je pourrais en retirer. Ma Gardienne est gentille avec moi car à chaque fois j’ai le droit de prendre du plaisir et de jouir au moins une fois. Parfois c’est même difficile de subvenir à ses besoins. Je m’efforce de le faire sans faiblir de crainte de me voir puni par une période d’enfermement plus longue qu’à l’accoutumée. Il arrive même qu’elle exige de moi jusqu’à trois « jouissance » dans la journée. Elle m’a prévenu que ce n’était qu’un entrainement, qu’elle pourrait bien en exiger plus et que j’avais intérêt à la satisfaire… 

Par hbi44-soumis - Publié dans : Journal d'un Encagé
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