Jeudi 27 février 4 27 /02 /Fév 12:32

Ceci est un nouveau jour. Après une longue et profitable période d’entrainement, il est temps de changer de cage pour une ATTICA tout acier avec plug urétral. Il faut s’habituer à sa mise en place et, dans un premier temps, le plug urétral ne sera pas mis en place (phase d’adaptation). La taille choisie pour l’anneau et la cage sont parfaitement adaptés. Elle semble plus grosse que la première cage CB-6000S mais une fois installée elle est tout aussi discrète sous les vêtements, se verrouille avec le même cadenas. Elle présente l’avantage d’être quasiment indestructible sans outils spéciaux et beaucoup plus aérée ; elle pourra donc être portée plus longtemps sans période de liberté obligatoire. Elle est aussi beaucoup plus lourde et son poids rappelle constamment sa présence au porteur. Impossible de l’oublier, ce qui était possible avec la CB-6000S. Bref ma condition d’encagé soumis se concrétise et plus d’échappatoire possible !

Avec le temps, au cours de la journée, je m’aperçois que le port de la cage va nécessiter une période d’adaptation plus importante que je l’avais pensé. Mais cela me plait. Il faut reconnaitre qu’après 10h de cage, je suis heureux de l’enlever.

Ce matin, je prends du temps pour essayer de mettre la cage avec le plug urétral. Difficile au premier abord mais, contrairement à l’excitation de la première mise en place, cette fois, le passage dans l’urètre fait débander complètement. J’en profite pour tester en allant uriner. Pas de problème. Ce n’est que quelques minutes plus tard que la gêne se transforme en une sensation difficilement supportable et je dois enlever la cage pour retirer le plug urétral. C’est raté pour aujourd’hui mais la cage est aussitôt remise en place et verrouillée avec le cadenas.

Second essai, plus de lubrifiant et mise en place en situation plus bandée, le résultat est immédiatement plus positif. La cage est en place depuis maintenant plus de 4h sans problème majeur, la sensation de contrainte est forte et impossible d’oublier le plug d’urètre. Le port pendant une plus longue durée sera à renouveler.

Après quelques jours, voici le moment de remettre en place le plug d’urètre. Beaucoup de gel, surtout sur toute la longueur du plug et la mise en place se déroule bien. Le ressenti est important et impossible à ignorer. Aller uriner est le moment où l’on se sent le plus humilié car la situation n’est pas naturelle. On doit contrôler l’importance du jet pour ne pas provoquer de fuites éventuelles encore plus humiliantes. Cette situation est due au fait que le plug d’urètre n’est pas assez long lorsque le pénis est rétracté, il faudra trouver une version mieux adaptée à un port de plus longue durée. Je me fais vraiment l’impression de soumis. Voilà maintenant plusieurs jours que je n’ai pas éjaculé et cela commence à se faire sentir, j’ai les boules de plus en plus sensibles. Vivement qu’elle me les vide.

Ma maitresse m’a trouvé une nouvelle cage dotée d’un plug d’urètre beaucoup plus long (~20cm) et dont une grande partir est en silicone souple s’adaptant parfaitement à la position que peut prendre ma bite lorsqu’elle est enfermée dans la cage. Délicat à insérer en totalité, une fois en place, la sensation de soumission et d’humiliation est constamment rappelée au porteur. L’utilisation de beaucoup de gel pour la mise en place est importante. Pour des raisons d’hygiène il est déconseillé de porter tout le dispositif plus de 48h sans un retrait pour nettoyage et désinfection. Maitresse a donc choisi une cage en acier pouvant se porter très longtemps sans risque. Désormais, lorsque je ne porte pas la cage avec le plug d’urètre long, je suis enfermé à temps complet dans cette nouvelle cage très solide et lourde. L’anneau de scrotum est très bien réalisé et ne blesse pas lors de sa fermeture et de son port sur une longue durée. J’ai un scrotum court que les testicules remplissent en quasi-totalité même lorsqu’ils ne sont pas pleins, la pose de l’anneau est donc un élément de contrainte qui se fait sentir fortement à lui seul même en utilisant une taille de 50mm. Il est donc totalement hors de question de pouvoir en sortir, qui plus est si on rajoute ensuite la cage qui est fixée solidement dessus.

 

Me voilà enfermé depuis maintenant plus qu’une semaine avec quelques rares moments de liberté pour satisfaire ma Maitresse. Apparemment je suis voué à rester enfermé très longtemps, libéré uniquement pour le plaisir et pour les expériences de soumission de ma Maitresse. Mon côté bi est satisfait uniquement lorsqu’elle offre ma bouche et/ou mon cul pour satisfaire un autre homme et c’est un moment où je dois systématiquement être enfermé pour ne pouvoir bander ou prendre du plaisir avec ma bite.

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Jeudi 27 février 4 27 /02 /Fév 12:29

Je me précipite dès le lever pour mettre la cage avant même de me rendre aux toilettes. C’est reparti pour une journée serré dans la cage. Durant la journée, j’ai ressenti à plusieurs reprises des ondes au niveau de mon bas-ventre et de ma queue avec une furieuse envie de me masturber. Comme je le pensais, je n’ai eu droit qu’à 11 h de cage aujourd’hui. Vivement que la période d’essais arrive à son terme que je sois obligé de rester encagé pour des périodes beaucoup plus longues (plusieurs jours).

Dernier jour de privation de liberté de la semaine, et encore, ce sera une journée raccourcie à cause du sport. Sitôt levé, je mets la cage et m’habille. Il est maintenant évident que le choix des réglages de contraintes est très satisfaisant : aucun moyen de sortir même lorsque je suis totalement flasque et rétréci, les testicules restent bien comprimés mais sans douleur, la bite est parfaitement en place et occupe la totalité de la cage, sans lui laisser aucune possibilité de grandir.

De retour à la maison, je me précipite vers la mallette à godes, j’en choisi un très gros et avec un peu de gel, je me l’enfile dans le cul bien profond. Je me lance alors dans une suite frénétique de mouvements qui ont pour effet de vouloir me faire bander mais la cage est là pour me contenir. Quelle sensation ! Maintenant, c’est avec l’outil destiné à la prostate que je joue. L’idée est de tester pour la première fois si je peux vider mon sperme sans prendre de plaisir et quelles sensations cela produit. Pas facile à faire tout seul. Au bout de quelques dizaines de minutes, j’arrive enfin à un début de résultat. Un tout petit filet de sperme s’écoule lentement. Je le récupère et le goute pour vérifier, c’est bien du sperme. Ça marche mais je pense que je préfèrerais que ma Gardienne s’en charge, cela serait encore plus efficace et humiliant de ne pas être maitre de mon corps.

Je suis obligé de mettre fin à cette expérience avant son terme réel, ce qui me laisse très frustré, exactement ce qu’il faut. Je dois maintenant enlever la cage car la suite du programme est incompatible avec son port, dommage. Aucune séquelle cutanée n’apparait, elle remplit donc parfaitement son rôle.

Après un long week-end sans contrainte, je me sens un peu perdu et j’ai hâte de retrouver ma cage. Dès le lever, je pose la cage et, après quelques pincements, je me retrouve bien serré. Les testicules gonflés sont bien coincés entre la cage et la bague, ils n’ont pas été vraiment vidés depuis plusieurs jours alors qu’avant le début de l’aventure de mise en cage, nous faisions l’amour tous cinq à six fois par semaine. C’est parti pour une longue journée. Bizarrement, je suis content et soulagé d’être à nouveau en cage. Le passage aux toilettes est toujours un moment où les sentiments de soulagement et d’humiliation sont étroitement imbriqués. Pour des raisons de propreté, je suis également obligé de me mettre assis, sous peine de m’asperger avec mon urine, une humiliation de plus. La journée passe sans soucis malgré une ballade le midi. Le soir, j’ôte la cage après plus de 12h d’enfermement, je me sens nu, il manque quelque chose. Vivement demain matin.

À nouveau encagé dès le lever, c’est parti pour une journée spéciale. En effet, ce midi je vais au club gay pour me faire prendre, mon cul réclame des bites, je suis en manque. J’appréhende cette première incursion dans le monde gay dans ma situation de soumis encagé, seuls mon cul, ma bouche et mes tétons seront disponibles alors que j’aime tant me faire sucer. Ça promet d’être chaud… Un peu déçu, pas de candidats intéressants, peut-être la situation a-t-elle rebuté les hommes présents. Partie remise. Maintenant ce sont les vacances et celles-ci ne seront pas propices au port de la cage pendant 15 jours.

Retour de vacances, remise en place de la cage dès le matin mais sans doute pour moins de temps que désiré. La sensation est très plaisante d’être enfermée est à nouveau présente.

 

À part les petites périodes de baise imposées par les envies de ma Gardienne, je reste enfermé. J’ai droit à ma part de jouissance et de rapports mais selon ses directives et pour son plaisir avant d’avoir à l’esprit la satisfaction et le plaisir que je pourrais en retirer. Ma Gardienne est gentille avec moi car à chaque fois j’ai le droit de prendre du plaisir et de jouir au moins une fois. Parfois c’est même difficile de subvenir à ses besoins. Je m’efforce de le faire sans faiblir de crainte de me voir puni par une période d’enfermement plus longue qu’à l’accoutumée. Il arrive même qu’elle exige de moi jusqu’à trois « jouissance » dans la journée. Elle m’a prévenu que ce n’était qu’un entrainement, qu’elle pourrait bien en exiger plus et que j’avais intérêt à la satisfaire… 

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Mercredi 12 février 3 12 /02 /Fév 10:02

Ce matin, le premier d'une longue suite d'autres. Dés le saut du lit, je mets l'anneau de diam 45 et une entretoise plus courte que la veille pour être maintenu plus serré. Un petit peu plus difficile à positionner et à fermer, mais j’y arrive sans trop de problème avec l’expérience d’hier. Départ pour le travail. Je commence par marcher 20 min d'un bon pas, puis assis 25 min, dans les deux cas c'était confortable et absolument pas douloureux tout en gardant en continu le sentiment de contrainte. J'ai l'impression que je me raccourcir. Je décide de me poser une bague anti-retrait, la plus petite car il n'y a déjà plus beaucoup de place. Une fois cela fait (pas vraiment très simple et je me pince plusieurs fois), je suis comprimé, bloqué mais tout en restant agréable et sans douleur. Maintenant, je reste en cage jusqu'à ce soir au minimum. Je ne peux plus bander du tout. La gardienne pourra me traire ce soir, avec ou sans la cage, ce sera selon son bon vouloir.

Les heures passent, le sexe emprisonné dans la cage, bien serré. Je sens les couilles qui sont bridées à la base et libres d’être frottées et excitées juste assez pour ressentir la contrainte de l’enfermement depuis maintenant 7 heures.

Libération au bout de 10h de port continu de la cage. Aucune séquelle, ni au niveau des couilles ni au niveau du pénis. Vivement demain. Encore quelques ajustements dans les réglages : entretoise plus courte pour un serrage plus important des testicules. Objectif : la porter au moins 12h consécutives.

Mise en place de la cage ce matin avec une entretoise plus courte pour une contrainte plus forte au niveau des couilles. Autre avantage, ma bite occupe toute la cage sans laisser d’espace pour un quelconque allongement. Le changement se fait sentir. C’est agréable et après quelques minutes de marche, une certaine excitation nait et aurait tendance à me faire bander, mais impossible de bander réellement tant je suis serré dans la cage: sentiment d’inachevé. C’est la première fois que je me sens vraiment complètement prisonnier et que je ne peux me satisfaire, même par une simple caresse. La frustration se fait plus sensible et c’est bien là la raison du port de la cage : seule la Gardienne a le droit de me libérer. Aujourd’hui je sens la cage à chaque instant car mon pantalon est plus serré, la sensation de soumis se fait plus forte en permanence. J’ai une réunion avec des personnes publiques, verront-elles un changement de comportement ? Je ne sais pas, moi en tout cas, je suis changé, sans doute pour longtemps.

 

Cela fait 14h que je suis encagé. Je n'ai vraiment plus envie de l'ôter. Je me sens bien ainsi enfermé. Demain je ne pourrais pas en profiter aussi longtemps, dommage. 

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Mercredi 12 février 3 12 /02 /Fév 09:55

Le journal de ma soumission

Le contrat de chasteté signé, la commande de la cage est faite de suite. Pour un premier essai avant de passer à une cage sur mesure en métal, ce sera une CB-6000S vu ma taille au repos complet et KSD-G3 pour anti-retrait. Le contrat en stipule les conditions d’utilisation (voir document en annexe). L'impatience de recevoir ma cage est là et il faut que j'attende 5 jours.

Je devais normalement attendre plus longtemps et ce matin, après seulement 2 jours d'attente, je reçois le précieux paquet. Je me précipite aux toilettes, je déballe le matériel, choisi l'anneau de base conformément à la mesure faite avec une cordelette : diam 50mm, sélectionne l'entretoise moyenne afin d'être bien serré. Je suis surpris, l'anneau se pose plus facilement que je ne pensais. Je suis bien serré mais sans douleur, j'ai les testicules bien ramenés vers l'avant et serrés. Je pose l'entretoise et j'essaie la cage. Je m'aperçois que je rentre tout juste en forçant ma bite dedans. Je bande un peu, donc je vais attendre quelques minutes pour limiter la taille. Au niveau longueur c'est parfait. Comme indiqué sur les forums, je ne mets pas de gel, juste un peu de salive. C'est OK, je m'aperçois également que je ne vais pas avoir besoin du KSD-G3 pour l'instant. Je verrouille avec le cadenas. Voilà, il est 10h, ma soumission commence, je me sens bien et j'espère que je vais tenir au moins 1 ou 2 heures.

Voilà 2 heures que je suis encagé, c'est très agréable comme sensation. Excitant sans pouvoir bander, objectif atteint. Je retourne à ma place, au bout d'un moment, j'en viens presque à l'oublier. La cage est totalement invisible sous mon pantalon, elle ne me gène pas ni pour les escaliers, ni assis. Absolument aucune sensation lorsque je touche la cage, impossible de sentir quoi que ce soit au niveau de la verge et encore moins possible de se branler, pourtant ma bite est un peu plus épaisse que la moyenne prévue pour cette cage, ça lui confère un avantage supplémentaire dans le maintien en place. C'est le top !

Encagé depuis 3 heures, premier passage aux toilettes pour vider ma vessie car j'ai bu 2 litres. Aucun problème, la conception permet de pisser sans inconvénients. Je vais encore attendre au moins 1 heure avant de le libérer pour la première fois.

Je suis maintenant encagé depuis 4 heures, afin de vérifier l'état de ma bite, j'ôte la cage en laissant l'anneau. Aucun gonflement aux endroits des trous d'aération de la cage, tout va parfaitement bien. Privé de toute sensation depuis 4 heures, je bande aussitôt et je dois pousser sans ménagement ma bite à l'intérieur de la cage pour l'y faire rentrer à nouveau. Elle va y rester encore quelque temps en punition de ce court moment d'excitation.

Besoin d'uriner, cette fois, je le fais debout : mauvaise idée, mes couilles partent faire un tour en dehors de l'anneau, il n'est donc pas assez serré. Il va falloir envisager la taille en dessous en espérant que ça passe. Pour l'instant je remets les choses en place comme cela. Si ça ressort encore, je changerais pour un anneau plus petit.

 

Il est temps d'enlever temporairement la cage après 5h30, cette première période d'adaptation s'est déroulée de façon très satisfaisante. Nettoyage : presque rien à faire, l'apparence de mon pénis est parfaite, sans trace. Seconde phase d'adaptation pour demain dés le réveil avec pour objectif le port de la cage toute la journée avec un anneau un peu plus serré. J'en frissonne déjà d'impatience.

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Jeudi 9 janvier 4 09 /01 /Jan 15:10

Les instruments de soumission

En fonction de la situation et des envies de ma Maîtresse, il existe plusieurs instruments qui me maintiennent en état de soumission.

Le contrat et façons de soumettre son esclave :

Etabli avec soin, il définit les conditions de soumission pour chacune des deux parties en rapport, la Maîtresse et son Soumis. Tout ce qui est écrit se doit d’être appliqué, ni plus, ni moins. Le contrat de soumission qui a été signé a été conclu sur la base exacte du modèle qui suit.

Modèle de Contrat :

Avant de débuter ma soumission à ma Maîtresse, ce contrat, basé sur divers documents dont nous avons fait une synthèse adaptée à notre vision de la soumission que nous envisagions. Il a été rédigé, validé, accepté et signé en pleine connaissance de cause par les deux parties.

Voir le fichier « CCF-PJS - a completer »

Quelques techniques à l’usage de la Maîtresse :

Maîtresse a à sa disposition une série de techniques destinées à jouer avec son soumis sans lui permettre de prendre du plaisir. Accessoirement cela permet de vider les couilles de son esclave sans le faire jouir ni lui permettre de prendre du plaisir.

Voir le fichier « TechniquesPourHomme ».

La cage de chasteté :

Comme indiqué dans le contrat de chasteté, je suis astreint au port d’une cage de chasteté pour une durée indéterminée. Je ne peux en être libéré que dans des cas bien définis (voir le contrat) et lorsque ma Maîtresse en aura envie, principalement pour utiliser mon sexe pour son plaisir. Mon plaisir reste SA propriété et ne m’accorde le droit de prendre du plaisir et de jouir que lorsqu’elle le décide. En cela la cage de chasteté est l’outil idéal. Impossible de bander, impossible de se masturber. C’est ma Maîtresse qui possède la clé du cadenas qui verrouille la cage. (Voir les différentes galeries photos des modèles que je suis susceptible de porter).

Le humbler :

Instrument d’humiliation par excellence qui oblige le soumis à une position idéale pour se faire enculer. Je suis ainsi à disposition pour exposer mon cul et ma bite sans pouvoir me soustraire aux actions de ma Maîtresse et de ses invités. (Voir galerie photos de quelques situations testées sur ma personne).

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Jeudi 9 janvier 4 09 /01 /Jan 15:05

Le coté Soumis

Dans les relations régulières avec ma Maîtresse (avant tout c’est ma femme), j’affectionne particulièrement de me trouver en dessous d’elle et de lui laisser la direction des événements.

Avec le temps, nous avons commencé à développer des jeux dont l’objectif était la perte de maitrise des actions et la dépendance physique à l’autre. Les pratiques couramment utilisées pendant longtemps ont été : être attaché en croix sur le lit, bâillonné parfois d’autres fois non. Il arrive à ma Maîtresse, lorsque je suis attaché sur le lit, après avoir joui en elle, de m’obliger à la vider de mon sperme avec ma bouche, de boire sa jouissance jusqu’à la lie. Encore aujourd’hui ce jeu fait partie de nos préférés.

Mais maintenant, ma Maîtresse est aujourd’hui passée au stade supérieur. Elle est seule détentrice de mon droit au plaisir et à la jouissance. Je n’ai le droit de prendre du plaisir ou de jouir que lorsqu’elle me le permet. Elle met en œuvre pour arriver à ses fins divers processus. Je suis constamment enfermé dans une cage de chasteté, elle utilise sur moi des techniques pour me vider les couilles sans me donner de plaisir. De me frustrer en m’obligeant à lui faire plaisir sans même pouvoir bander (grâce à la cage entre autre), à m’offrir aux autres pour  sodomies en tout genre, fellations, cunnilingus et  autres sans pouvoir ni bander ni éjaculer. J’ai signé en pleine connaissance de cause le contrat de soumission et ne peux l’annuler.

Ma Maîtresse

Ma Maîtresse est la seul à détenir l’autorité sur moi et la seul à me permettre de prendre du plaisir avec ou sans jouissance. Je dois lui obéir en tout. Elle seule peut me libéré de la cage de chasteté que je porte. Dans ma condition de soumis, c’est elle qui décide ce que je dois subir. Mon plaisir n’a pas d’importance, le sien si. J’ai accepté d’être son esclave sexuel soumis à toutes ses volontés et caprices. Je ne peux maintenant plus revenir en arrière avant la fin du contrat, dans 2 ans.

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Jeudi 9 janvier 4 09 /01 /Jan 15:01

Le coté Bi a toujours été présent en moi. J’en suis aujourd’hui persuadé. Il ne s’est révélé réellement qu’assez récemment, il y a environ 8 ou 9 ans. Depuis lors, le besoin de relation bi se fait de plus en plus souvent ressentir. Après une période de tâtonnements à la recherche de ce qui se passait en moi et de ce qui me plaisait, j’ai parlé à ma Maîtresse (ma femme) de mes envies et de mes besoins. Elle s’est montrée très compréhensive et un brin intéressée par les perspectives offertes. Elle a commencé par s’amuser à me goder de façon de plus en plus intensive. Lors de nos premières rencontres libertines, j’ai rencontré quelques hommes bi, quel frisson de sentir les caresses d’un homme, c’est tellement différent de celles d’une femme. Non que la femme soit maladroite, bien au contraire, je prends un pied d’enfer avec les femmes. Mais les caresses, les fellations d’un homme sont très différentes et on ressent presque toujours dans la façon de faire la connaissance spécifique du plaisir masculin. Aujourd’hui, j’apprécie toutes les facettes du plaisir entre hommes : caresses, fellations, sodomies, qu’elles soient données ou reçues. J’en suis au point qu’une relation Gay est tout à fait envisageable.

La présence de ma Maîtresse apporte un coté directif dans la relation, devant répondre à ses ordres. Je suis bi, et plus particulièrement, un bi passif qui adore se faire prendre et que l’on abuse de lui.

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Mercredi 8 janvier 3 08 /01 /Jan 14:09

Bi ? Oui, je le suis. C’est maintenant une évidence qui, avec l’expérience et le temps s’est affirmée, développée. Cette évolution lente m’a permis d’assumer totalement ma tendance sexuelle bi.

Cette tendance, pas toujours facile à assouvir car beaucoup se disent « Bi » mais ne font que fantasmer et n’osent pas franchir le pas. En plus, je suis plutôt passif car j’adore me faire prendre bien profond et ma capacité à rester en érection longtemps avec un préservatif est très réduite.

Avec l’expérience et le temps, les rapports avec des partenaires gays sont tout à fait envisageables.

Une des autres évolutions qui se sont fait jour est le plaisir de la soumission.

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